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    reseaux

    Editions Nathan

     

    Vincent Villeminot nous propose ici une réflexion sur les détournements malsains du net et la difficulté de le contrôler.


    Sur les réseaux, tout le monde pense connaître tout le monde.

    D’un côte, il y a le réseau de jour, classique. Et de l’autre, celui de la nuit, le réseau DKB sur lequel les internautes postent leurs rêves et leurs cauchemars.


    J'avais vraiment hâte de découvrir ce premier tome, le résumé m'attirant beaucoup.

    Mais j'ai eu énormément de mal à m'y retrouver au beau milieu de tous ces complots, toutes ces alliances, toute cette galerie de personnages, qui pour la plupart, n'ont aucun lien les uns avec les autres, ce qui est assez déstabilisant pour le lecteur.


    L'histoire me paraissait franchement intéressante et innovante mais la complexité de l'intrigue a eu raison de moi.

      Je n'ai malheureusement pas accroché du tout.
     

    Un livre  qui pourra trouver son lectorat pour les ados de plus de 15 – 16 voire 17 ans !


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    Editions Âne Bâté
     
     
     
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    Intrigué par le sentiment de quiétude que dégage le couple d'oiseaux,
     
    le paon leur demande la recette de leur bonheur.
     
     
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    Et les chouettes livrent leur secret :

     

    « Quand vient le printemps

    notre cœur déborde de joie

    en voyant la nature renaître".

     
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    Cet album est un classique de la littérature jeunesse qui fut publié pour la première fois en 1963.
     
    Celestino Piatti (1922- 2007), son auteur, était un des plus grands illustrateurs, graphistes et affichistes suisse, et eut une carrière à la renommée internationale.
     
    Il réalisa en tout sept albums, qui marquèrent des générations de jeunes lecteurs.
     
    « Le bonheur des chouettes » fut le premier qu’il réalisa.
    Il y mettait déjà en scène son animal fétiche, un oiseau symbole de sagesse dont l’immense regard semble à la fois impénétrable et scrutateur.
     
    Un très bel album intemporel, qui en faisant l’apologie des plaisirs simples, porte un message on ne peut plus actuel.
    Cette histoire plutôt chouette  incite le lecteur à découvrir les bonheurs simples, ceux que l'on trouve autour de soi.
     
    Mais si l'exercice paraît évident pour certains, il peut se révéler très difficile pour d'autres, notamment pour les volatiles de la basse-cour.
     
     
    Sur des fonds blancs, les illustrations, délicieusement vintage, simplifient les motifs, les cloisonnant à la façon de vitraux avec des couleurs éclatantes.
     
    Une jolie fable animalière philosophique .
     
    Accessible dès 3 ans.
     
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  •   Photo1238 

    Éditions Autrement, à partir de 3 ans

     

    L'album est rangé dans un fourreau.

    La couverture, du coup très sobre, est sublime,

    elle laisse toute la place à l'illustration.

     

    Voici un livre somptueux qui nous plonge au coeur de l'hiver,
     
    dans un paysage enneigé fait de subtils découpages en papier!
     
     
     
     
     
    Une rencontre entre une renarde et un jeune garçon...
     
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    Une histoire sur l'amitié et la générosité
     
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    Pour lire avant de savoir lire...
     
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    Princesse Camcam a l'art de savoir faire naître des émotions, sans la moindre parole,

    sans le moindre texte.

    Une ambiance feutrée et poétique se dégage de ce magnifique album.

     

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  • Editions Robert Laffont

     

    En 1954, dans un village du sud de l'Amérique, une petite fille  de quatre ans, est enlevée puis abandonnée dans la jungle colombienne.

    Elle découvre une communauté de singes  capucins et devient progressivement une des leurs.

    Les singes se  comportent comme les adultes qui peuplaient son monde et donnent une image de communauté unie et organisée qui l'apaise.


    Petit à petit, cette enfant arrête  naturellement de penser à sa vie antérieure pour se rapprocher de sa nouvelle famille de singes.

     

    "Je suivis les singes en rampant jusqu'à la petite clairière...

    Aujourd'hui, je compare l'enthousiasme qui m'habitait alors à celui d'un enfant au matin de Noël.

    Une excitation sans doute révélatrice de mon entrée dans l'état sauvage".

     

    La jungle devient sa maison, son pays.

     

    Quand des chasseurs la découvrent et la ramènent à la civilisation , elle a  dix ans approximativement.

    C' est la fin de son séjour dans la jungle, et une nouvelle existence,

    parmi ceux de son espèce, s'ouvre devant elle.

    Mais elle ne ne sait pas qu'après cette enfance sauvage l'attend une

    adolescence plus sauvage encore.

     

    Vendue à une maison close,cette petite fille,  Marina, le prénom qu'elle se choisira lorsqu'elle aura 14 ans, devient une esclave domestique:

    Survivre à chaque instant, arriver à comprendre ce que l'on attend d'elle, arriver à se faire comprendre , arriver à traverser la journée sans trop se faire battre.

     

    Elle devient ensuite une enfant des rues de Cucuta.Elle vivra  ainsi dans la rue pendant 2 ou 3 ans.


    Les années passées dans la jungle lui ont beaucoup appris.

    Elle sait se défendre, se nourrir, échapper au danger, survivre dans des situations critiques.

     

    Un jour, à 14 ans, elle croise le chemin de Maruja, et grâce à cette femme trouvera enfin une famille qui lui permettra  de construire sa vie.

     

    Lynne Barrett-Lee a fait le tri dans des notes méticuleusement amassées par Vanessa, la fille de Marina, au cours de deux années d'entretiens continus avec sa mère.

    Elle s'est concentrée sur l'enfance de Marina, prenant son enlèvement, où, arrachée à sa famille, elle perdit en quelque sorte son identité, comme point de départ, pour finir à ses quatorze ans environ, où elle retrouva un nom.

     J'attends avec une grande impatience  la suite de cette  incroyable histoire, aussi passionnante qu'émouvante.

     Entre "L'Enfant sauvage" et "Le Livre de la jungle", un récit extraordinaire,  une histoire de résilience exceptionnelle!

     

    A découvrir de toute urgence!

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