La  collection  "Mots pour mots" réunit des artistes et des écrivains renommés autour de grands thèmes de confrontation, d'échange ou de dialogue.

 

Ce volume contient les correspondances passionnées de couples mythiques de la littérature française, parmi lesquels G. Sand et A. de Musset, V. Hugo et J. Drouet, H. de Balzac et Mme Hanska ou Stendhal et Clémentine.

 

Tous sont animés d'élans passionnés que le dialogue épistolaire ne cesse de raviver.

 Aujourd'hui, c'est la Saint Valentin et le jour idéal pour découvrir ces lettres enflammées!

  

 

 

 

 

 

 

 

 

  

 

 

 

L’auteur bruxellois, Mario RAMOS, est mort à l’âge de 54 ans.

 Il était auteur et illustrateur de

 La princesse Grenouille,

 

 

Loup, loup, y es-tu?

 

 

 Au lit, petit monstre!

 

 

C'est moi le plus fort,

C'est moi le plus beau,

Le Roi est occupé

 

 Quand j'étais petit

 

Maman!

  plus récemment,

 Le code de la route

 

  

Mon Ballon

 

 Né en 1958 à Bruxelles, Mario Ramos se passionne très tôt pour le dessin: «Comme tous les enfants, je dessinais. Je n’ai tout simplement jamais arrêté. Le dessin m’a toujours aidé à vivre»,

Après des études de communication graphique à La Cambre, à Bruxelles, il réalise des affiches, dessins de presse, couvertures, dessins de pub. Mais le secteur de la publicité ne correspond pas à ses attentes: «ça n’était plus drôle du tout: les meilleures idées restaient dans les cartons. Je suis donc revenu vers les livres.»


  Les histoires et les dessins de Mario Ramos sont à la fois drôles et pleins de sens.

 

Un monde de cochons

 

met en scène Louis, un jeune loup, qui fait sa rentrée à l’école des cochons. L’histoire aborde les thèmes de la différence, des difficultés d'intégration et de l'école.
 

Dans son livre Le plus malin (École des Loisirs),

 

publié en 2011, le loup laisse passer près de lui tous les personnages des contes de fées qu'il a l'habitude de dévorer.

 

Son dernier ouvrage, Un monde de cochons, L'école est en feu (l’École des loisirs),

paru le 20 septembre dernier, raconte l’histoire de Louis, qui semble cacher des choses à son ami Fanfan, sa vie devient même cauchemardesque.

Mais son ami est là, prêt à défendre un petit loup dans un monde de cochons.
 

L’auteur et illustrateur explique sur son site la conception qu’il a de son métier: «Il faut être très humble par rapport à la création. On attrape des idées qui sont là, autour de nous. Elles ne font que nous traverser pour atterrir sur la feuille blanche. Notre travail, c’est de rendre cela visible. C’est une façon de communiquer. Avec un crayon et du papier, tout est possible. C’est magique!»

 

Editions Sonatine

 

 

 

Quand on commence à lire ce livre, on ne peut plus le lâcher!

 

 

Amanda a tout pour être heureuse: un mari qu'elle aime, un métier qui la comble(architecte).

 

Jusqu'au jour où, dans un état second, elle se met peu à peu, et malgré elle, à réaliser ses désirs les plus enfouis, à donner libre cours à toutes ses pulsions.

 

 

Amanda est-elle possédée, est-elle folle?

Cherche-t-elle inconsciemment une libération totale, absolue ?

 

 

Sara Gran va droit au but et s'en tient à l'essentiel.

L'écriture est simple mais percutante.

Les chapitres sont courts, et couvrent l'évolution du personnage d'Amanda à la manière d'un journal de bord.

 

On assiste, comme Amanda, en spectateur impuissant à sa transformation.

 

 

On flirte ici avec le fantastique et ce livre n'a pas fini de vous poursuivre....

 

 

A l'âge où les enfants commencent à parler, le père de Céline Raphaël décide qu'elle sera un prodige du piano.

Dès deux ans et demi, la petite fille passe des heures devant son clavier.

A huit ans, elle gagne son premier concours international.

Mais que de souffrances pour en arriver là.

Chaque fausse note lui vaut des coups de ceinture ou d'être privée de dîner. Son père l'enferme dans la salle de musique, lui laisse pour unique vêtement un jogging, l'éloigne de ses camarades de classes, la terrorise.

Et sa mère reste muette.

C'est une infirmière scolaire qui se rend compte de l'état de l'adolescente anorexique qu'elle est devenue.

Elle ose alors raconter son calvaire et dénoncer son père.

En fuyant sa famille, elle réussit à se reconstruire.

 

Un bel exemple de résilience.

C'est un parcours hors-norme, que Cécile Raphaël raconte pour lever le tabou de l'enfance maltraitée.

 

Interne en médecine et docteur ès sciences, elle milite pour un engagement politique en faveur de la protection de l'enfance et une meilleure formation des professionnels de santé au repérage de la maltraitance.

 

 Bouleversant!

 

 Éditions Palette

 

Il y a les animaux de la mer