• 9782246790204FS
     
     
     
    Dans son nouveau roman, l’écrivain raconte l’histoire folle d’une famille bretonne qui se dit ses quatre vérités autour d’un repas de Noël.
     
     
    gif-noel-n35gSckFTm
     
     
    Un déballage qui ne fait de cadeaux à personne.
     
     
    1910022_13428609-alexandrejardinq-20121117-r140d
     
     

    - Croyez-moi, il est possible de mener sa vie en disant tout. Une existence sans déni ? Sans angle mort ! s'écria la jeune femme.


    - Vous n'avez donc aucun secret ?


    - Si, des montagnes ! rétorqua-t-elle.


    - Alors ?


    - Mes secrets me construisent, mes angles morts me détruisent.


    Puis elle ajouta avec jubilation : 
    - A Noël, j'offrirai le plus beau des cadeux : ma vérité ! A ceux que j'aime, ma famille. C'est comme cela qu'il faut vivre ! Nous serons vieux plus tard.


    - Joyeux Noël !

      Retour vers le haut


    votre commentaire
  • BlackOut
     
     
     
    gif-coeur-15-gratuit

     

    Brian Selznick est l'auteur du célèbre Hugo Cabret récemment adapté au cinéma par Martin Scorsese. Ses romans graphiques sont de vrais merveilles, c'est non seulement un bon auteur mais aussi un illustrateur de talent.

     

    Brian-Selznick
     
     

    Dans ce nouveau roman , tout se passe aux États-Unis mais à deux époques différentes.



    Nous faisons tout d’abord connaissance avec Ben, nous sommes en 1977.
    L’enfant vit chez ses cousins depuis la mort de sa mère survenue quelques semaines plus tôt. Il ne connaît pas son père, est né sourd d’une oreille et fait souvent un terrible cauchemar où il est poursuivi par des loups. Ben découvre un jour dans la maison qu’il habitait « le Cabinet des Curiosités » et part presque immédiatement à New-York. Il est persuadé du fait que le livre a appartenu à son père. Peut-être pourrait-il le retrouver ?

     

     


    Rose vit en 1927 et est obnubilée par une actrice, Lillian Mayhew. Rose conserve tout ce qu’elle peut trouver sur l’actrice dans un cahier. Qui est cette dernière ? Dans le dernier article trouvé, Rose apprend que l’actrice joue dans un théâtre à New-York qu’elle va se mettre en tête d’atteindre.

     

    BLACK_OUT

     

     

    Brian-Selznick2

     

     

    75200371_p

    Les 2 enfants ne se connaissent pas mais ils sont tous deux à la recherche d’un être cher à New-York. 50 ans les séparent mais leurs histoires vont se rejoindre…


    "Black Out" est une passionnante histoire où se mêlent quête identitaire et aventures, secrets de famille et histoire de New-York.

    Avec "L’invention d’Hugo Cabret", Brian Selznick avait surpris par la succession du texte et des images.

    Dans "Black Out", l’histoire de Ben est en mots et celle de Rose est en images –et cela a un sens avec les particularités physiques des 2 enfants.

    Ainsi, Brian Selznick donne encore à voir une parfaite maîtrise de ce type de narration qui gagne de plus en plus la littérature jeunesse : le roman graphique.

    Black Out

    Auteur : Brian Selznick
    Traducteur : Danièle Laruelle
    Editeur : Bayard jeunesse
    Mars 2012 - 16.90 Euros
     
    ISBN : 9782747039161
    Thèmes : Fantastique, Identité, Aventure, Surdité, New-York

     

    Les romans pour adolescents  ne sont  pas lus exclusivement par des jeunes...

    Les adultes y trouveront un grand intérêt!

     

    Pour ma part, j'en lis beaucoup et trouve que certains abordent même  des sujets très difficiles.

     

    L'offre littéraire a beaucoup évolué: on est loin de la bibliothèque rose et verte! 

     

    Bref, n'hésitez pas à vous plonger dans ces romans...et en particulier, dans celui-ci!

     

    Il est vraiment très beau♥          

     

                          Retour vers le haut                          


    votre commentaire
  • 9782226244321
     
    news_185_fr
     
    Un recueil de 5 nouvelles sur le mystère des sentiments inavoués.
    Souvent, l’architecture d’une vie est composée de passions invisibles, qui ne se diront jamais, que personne ne devinera, inaccessibles parfois même à celui qui les éprouve. Et pourtant, quoiqu’obscurs, ces sentiments sont réels ; mieux, ils construisent la réalité d'un destin.

    Avec délicatesse, Eric-Emmanuel Schmitt dévoile les secrets de plusieurs âmes.
    Une femme entretenue et gâtée par deux hommes qu’elle ne connaît pas. Un héros qui se tue à la mort de son chien. Une mère généreuse qui se met à haïr un enfant. Un couple dont le bonheur repose sur un meurtre. Un mari qui rappelle constamment sa nouvelle femme au respect de l’époux précédent…
     
     
    Bonne lecture!

    votre commentaire
  • j.k.rowling
     
    Chez GRASSET
     
     

    Elle l'a dit
    « Après Harry Potter, je peux faire ce que je veux ! »

     

     

     

    « Une place à prendre » en quelques phrases

    L’histoire
    Pagford, petite ville anglaise typique. Les gens y naissent et y meurent, tout le monde se connaît. L’objet de la discorde : la Cité des Champs, quartier installé récemment à la lisière de la ville, où se concentrent drogués, chômeurs et immigrés. Pour ou contre la Cité, la ville est scindée en deux autour de ce débat, à l’image du Conseil paroissial. Et puis un des notables du Conseil meurt subitement, laissant une place vide qui suscite les convoitises…

    Le premier paragraphe
    « Barry Fairbrother ne voulait pas aller dîner. Une migraine épouvantable le harcelait depuis le début du week-end, et il était embarqué dans une course contre la montre pour rendre un article à temps avant le bouclage du journal local. »

    Le mot de la fin
    « … et la foule rassemblée détourna les yeux. » Une phrase assez représentative du livre, ça tombe bien. Dans sa satire de l’Angleterre contemporaine, J.K. Rowling dresse le portrait de l’hypocrisie sociale, des comportements de « mouton ».

     

     

    J.K. Rowling a beau dire qu’elle en a terminé avec les héros ados, ils ont encore bien leur place dans le roman, et les teenagers constituent la moitié de la galerie de portraits qu’elle dresse. Mais elle le fait si bien…


    Comme dans les tomes de Harry Potter, l’auteure décrit à la perfection l’Angleterre, ses mœurs, ses ambiances, sa culture. On s'y croirait.


    votre commentaire
  •  

     
     
    simons-cat1
     
     

     
     
     
     
    simon-s0
     
     
    Simons_Cat_2

     

    a778fd62529b0a22d17bd6.L._V183551268_SL290_
     

     

    Le fameux « Simon » de la série Simon’s Cat, c’est lui.

    Simon Tofield, animateur britannique, s’est fait un nom sur le web en se dessinant un double numérique à l’air toujours dépité, mené à la baguette par cet hilarant estomac à pattes qu’il appelle son chat.

     

    Comment vous êtes-vous lancé dans l’aventure Simon’s Cat ?

    J’ai toujours travaillé dans l’animation, mais avant Simon’s Cat, j’étais plus habitué à la technique traditionnelle à base de papier et de crayons. J’ai vu les ordinateurs prendre une place de plus en plus importante dans l’industrie de l’animation, et j’ai compris que je devrais bien finir par m’y mettre, moi aussi. Alors j’ai voulu faire un petit film avec ce logiciel appelé Flash pour voir ce que ça donnait. Il ne me manquait que le scénario.

    L’idée est venue un matin, alors que j’étais au lit. Mon chaton était tout excité, il me grimpait dessus et essayait de me réveiller pour que je lui donne son petit déjeuner. Quand je me suis enfin levé pour le nourrir, je me suis dit : « Mais c’est génial, cette idée ! Un homme couché dans son lit, harcelé par son chat affamé.... » Je me suis mis à l’ordinateur et j’ai fait ce petit film. C’était juste un test, il n’avait pas de titre, pas de musique ni rien...

    Un studio américain avec lequel je travaillais a vu le film, l’a adoré et m’a demandé s’il pouvait l’emprunter pour tester la diffusion de vidéos sur leur site. J’ai dit oui. Quelques jours plus tard, les types m’ont appelé pour me dire : « Il faut absolument que tu fasses quelque chose avec ce chat, le film a tellement de succès que nos serveurs sont tombés deux fois en deux jours ! » Il avait fait 35 000 vues dès sa mise en ligne ! Je leur ai repris le film et je me suis demandé ce que j’allais bien pouvoir en faire... Puis un ami m’a dit qu’il venait de le voir sur YouTube. J’étais catastrophé : « Oh non, mon film est sur YouTube et je ne lui ai même pas donné de nom ! » J’ai pensé à plein de titres comme Wake up Kitty ou Kitty and the alarm clock... Je devais avoir près de 500 idées.

    Finalement, ce fut Cat Man Do.

    Oui. Et j’ai également cherché une manière de me le réapproprier, parce que personne ne savait qui j’étais à l’époque ! Alors je me suis dit que je devais faire un autre film. Je l’ai appelé Let me in, et cette fois j’ai bien fait attention de mettre mon nom à la fin. C’est aussi en faisant ce deuxième film que j’ai décidé d’appeler le chat « Simon’s Cat ».

     

    arton2045-a0544

     

     

    Mais pourquoi ne pas lui avoir trouvé de prénom, à ce chat ?

    Parce que je crois que beaucoup d’internautes lui ont trouvé un nom par eux-mêmes ! De nombreuses filles pensent que c’est une femelle et disent « elle est adorable », alors que les garçons voient un mâle et disent « il est génial ». Simon’s Cat est une sorte de chat générique. Personnellement, je l’appelle Hugh parce qu’il est basé sur mon chat Hugh. Mais l’animation permet de se l’approprier. Si vous avez un chat qui s’appelle Tiger, alors Simon’s Cat devient Tiger, et vous craquez encore plus ! Les internautes n’arrêtent pas de dire « Wow, c’est mon chat ! Il fait exactement comme mon chat ! » Donc il y a une raison derrière cet anonymat.

     

     

    Et le nouveau chaton, le newbie ?

    Il s’appelle Teddy ! Il est inspiré de mon nouveau chaton qui s’appelle comme ça. D’une manière générale, j’essaie de limiter les éléments purement imaginaires. Il y en a déjà beaucoup pour le côté comique, comme cette batte de baseball que le chat dégaine pour assommer son maître. Mais je veux m’inspirer de la vie réelle autant que possible. J’ai trouvé ce nouveau chaton dans un carton, comme dessiné dans mon dernier livre [Simon’s Cat et le chaton infernal, ndlr]. Son histoire raconte comment il sort du carton, comment il découvre la maison... Ce sont principalement des observations de comportements : les chats se comportent différemment selon qu’ils interagissent avec des humains ou avec d’autres chats. Cela se traduit notamment dans les bruitages des films : certains miaulement sont typiquement destinés aux humains, tandis que d’autres servent à communiquer entre chats — les grondements, les sifflements...

    Vous faites les bruitages vous-même ?

    Oui... Ou du moins les voix des animaux. Tout simplement parce que je n’avais aucun budget pour faire le premier film.

    Mais vous n’avez jamais songé à enregistrer vos chats ?

    Oh non, surtout pas ! Simon’s Cat est un petit personnage de dessin animé, il est très expressif et sa voix devait vraiment être jouée pour retranscrire tous ses états d’esprit : quand il est effrayé, ou affolé... Quand on a fait les premiers films, avec Russell Pay — c’est lui qui fait les bruitages d’objets —, on a cherché des enregistrements de miaulements sur Internet. Mais il n’y avait qu’une poignée de sons disponibles dans les bibliothèques de bruitages, et je les avais déjà tous entendus à la télévision ! Et puis, ils n’avaient pas beaucoup de caractère... De vagues « miaaaaouuuu ». On ne pouvait rien en tirer. Alors j’ai proposé de le faire moi-même.

    Finalement, la voix du chat est devenue une composante essentielle du succès de Simon’s Cat, parce que tout le monde peut l’imiter. Elle est jouée par un humain, et elle peut être copiée par d’autres humains ; c’est aussi pour ça que les gens l’adorent. Pour la voix du chaton, je me suis demandé comment je pouvais marquer la différence avec son aîné. J’ai fait beaucoup de tests entre la voix grave du chat et celle très aiguë du chaton. « Maaou » pour l’un, et « miu, miu » pour l’autre. Même les enfants peuvent imiter cette différence !

    Comment se déroule la réalisation d’un film ?

    Il faut environ sept semaines pour l’animation, et huit pour le son et la musique. Ça peut sembler très long, mais dans le domaine de l’animation c’est extrêmement rapide car le travail de dessin, pour produire 25 images par seconde, est intense. En général, l’idée de départ me vient très vite, puis je l’enrichis au fur et à mesure de la réalisation. En dessinant, je pense à d’autres gags et je remanie le scénario pour que ça devienne un véritable court métrage. Le premier jet du storyboard est très basique, puis il évolue sans cesse. Le film que j’ai publié hier, par exemple, a une « chute » toute neuve, que j’ai trouvée seulement la veille ! Je me disais « Rhaaa, ce n’est pas assez drôle... » Alors j’ai complètement changé la fin en faisant grimper le chaton sur Simon’s Cat.

     

    Mais comment arrivez-vous à tenir le rythme de parution des épisodes vidéo tout en dessinant un livre ?

    Depuis peu, j’entraîne une apprentie réalisatrice qui me remplace pour certains films, comme Hop It ou Lunch Break. Elle est très forte, maintenant, elle a pris le pli. Je peux la laisser se débrouiller seule et travailler sur le livre de mon côté. Elle n’a pas exactement le même style que moi, mais peu de gens doivent le remarquer... Il faut absolument que mon équipe s’agrandisse, car plus le chat devient célèbre et plus les internautes veulent le voir. J’ai à peine fini un film qu’on me demande déjà quand sortira le prochain !

    Aujourd’hui, quelle facette de votre travail passe en premier ? Écrivez-vous d’abord le scénario des films ou du livre ?

    Je m’isole pendant trois mois pour monter le livre. Je m’enferme dans une pièce et je trouve des tas d’idées ! Et pendant que je me concentre sur le papier, mon apprentie fait les films ; c’est très pratique. On discute ensemble de mes idées et on choisit les gags qui feraient un bon film, puis on adapte la chute de la scénette. Le scénario d’un film est un peu plus évolué qu’un gag dans un livre.

    Ceci dit, je préfère partir d’une idée fraîche quand je réalise mes propres films.

    Adapter Simon’s Cat sur papier, en perdant le potentiel comique des bruitages et les jeux de rythme, était un pari risqué...

    Oui, mais je crois que ça fonctionne bien ! Les gens adorent ces livres. Même sans la voix des chats, ils y retrouvent les dessins qu’ils connaissent dans les films et je peux jouer sur les expressions des personnages. Tout repose sur son visage, son regard, sa bouche et ses pitreries.

     

     

    Avez-vous des inspirations particulières ?

    Je n’ai jamais vraiment lu de bandes dessinées, donc je ne sais pas si on peut parler d’inspirations... J’ai toujours dessiné, croqué, gribouillé par moi-même, en ne m’appuyant que sur ma propre imagination. Mais j’ai tout de même un faible pour Calvin et Hobbes, une de mes œuvres préférées. J’adore ses scènes d’extérieur sous la neige... Peut-être qu’elle m’ont influencé un peu. Quand je regarde mes propres jardins enneigés, je me demande d’où ça m’est venu, puis je vois Calvin et Hobbes et je les reconnais tout de suite.

    Et Garfield, peut-être, pour la relation tyrannique entre le chat et son maître ?

    Beaucoup de gens voient des similarités entre Garfield et Simon’s Cat, mais je n’ai jamais vraiment lu cette BD. Je vois ce que vous voulez dire, sur la relation entre le chat et l’homme... Mais Garfield repose sur ses bons mots : les dessins sont très simples et l’humour vient de l’écriture. C’est trop bavard pour moi. Dans Simon’s Cat, il n’y a aucun parole, aucune bulle de dialogue. Tout est entièrement concentré sur le comportement félin.

    Les chats sont naturellement drôles ! Ils ont un langage corporel très riche qui passe très bien en animation. En leur jetant un seul coup d’œil, vous savez immédiatement comment ils se sentent : ça passe par la façon dont ils sont assis, les mouvements de queue, l’orientation des oreilles ou le regard... Et puis les chatons sont si mignons ! On ne peut pas s’empêcher de les adorer.

    Le web est secrètement dirigé par un chat-dow gouvernement dont chaque ministre est une célébrité féline : Maru, le Nyan Cat, Surprised Kitty, Sockington... Quel poste attribuez-vous à Simon’s Cat ?

    Mmmh... Ministre de la gamelle.

     
     
    yrnfh3cy

    votre commentaire
  • bibliotheque-insolite-32
     
    bibliotheques-insolites-L-nqtJMK
     
     
    bibliotheque-infini
     
     
    livre_020
     
     
    3517074135.2
     
    livre noir et blanc
     
    552605_10150925803515248_328258818_n
     
    73022251

    1 commentaire
  •  

    Vincent (Patrick Bruel), la quarantaine, va être père pour la première fois.

    Cela s’annonce comme un dîner convivial, organisé chez Élisabeth (Valérie Benguigui) et Pierre (Charles Berling), sa sœur et son beau-frère. Il y retrouve également Claude (Guillaume de Tonquedec),  un ami d’enfance.

    En attendant l’arrivée d’Anna (Julie El Zein), sa jeune épouse en retard, on le presse de questions sur sa future paternité dans la bonne humeur générale… jusqu’à ce qu’il donne, fièrement, le prénom choisi pour l’enfant à naître.

    Sa réponse plonge la famille dans la stupéfaction, et engendre le chaos.

     

    « Le Prénom » devient  finalement un révélateur qui va faire ressurgir les rancœurs de chacun.

    Celui-ci étant souvent un indice social ou même politique, il va faire éclater les préjugés sociaux et politiques que même des amis peuvent avoir entre eux et que Vincent prend plaisir à exagérer, par provocation.

    Les masques tombent alors. 

     

    « Le Prénom » n’en est pas moins une satire sociale réjouissante aux dialogues ciselés et personnellement, j'ai beaucoup aimé.

     

    Judaicine-Le-prénom-700x422

     

    le-prenom-25-04-2012-1-g

    votre commentaire
  •  
     
    LE CIMETIERE AMERICAIN A ROMAGNE SOUS MONTFAUCON
    (Meuse, 40 kms de VERDUN)
     
    LE PLUS GRAND CIMETIERE AMERICAIN D'EUROPE!
    (couvre 52 hectares)
     
    Première guerre mondiale
     
    14426 croix...
     
    2168148463_small_1
     
     
     
    55438_1_photo1_g
     
     
     

     

     
     
     
     
    cimetiere-romagne-sous-montfaucon-3-512
     
    72576682
     
     
    72576811
     
     
     
     
     
     

    Il a marché à Romagne

    Neil Armstrong est venu visiter l’an dernier, le cimetière américain de Meuse-Argonne. Un passage gardé secret comme le voulait l’intéressé. 

     
     
    neil-armstrong-en-compagnie-jason-blount-(a-gauche)-photo-dr
     
     
     
     
     
    lune_24
     
     
     
     
     
    DSC00237

    votre commentaire